Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

2013-12-31T09:00:00+01:00

Pensée du Jour - Omraam Mikhaël Aïvanhov - Mois de décembre 2013

Publié par Rose du Sud

aivanhov.jpg

Voir plus d'articles (mois par mois)
   
 
 
     
 
Editions Prosveta
Vous inscrire
   
 
 
Qui était il ?
     
SESSION_ID=MAILING4f3dba455093d
  
  
Témoignages de personnes l'ayant connu
      
   
 
 Pensée du mardi 31 décembre 2013  
Bénédictions - à prononcer chaque jour

"Bénissez chaque matin la journée qui s’ouvre devant vous. Vous avez là toutes les possibilités de donner une nouvelle orientation à votre vie. Pourquoi le passé et ses erreurs devraient-ils se prolonger dans l’avenir ?… Ouvrez les yeux en pensant à chacune des facultés que vous possédez et que vous pouvez mettre en œuvre afin de réaliser tous vos bons projets. N’est-ce rien d’être, encore aujourd’hui, capable de penser, de souhaiter, de voir, d’entendre, de marcher ?…
Bénissez aussi les difficultés que vous allez rencontrer durant cette journée… En vous donnant de nouveaux problèmes à résoudre, le Ciel vous montre qu’il vous juge capable non seulement de travailler efficacement, mais de réparer les erreurs que vous aviez pu commettre.
Bénissez votre vie quand l’aube apparaît, alors même que vos forces déclinent peu à peu. C’est le moment d’ouvrir vos yeux intérieurs sur un autre monde. Et ne pensez pas que vous allez mourir, mais pensez que vous allez naître ailleurs, et qu’après être passé par une porte étroite vous entrerez dans un espace de lumière.
Si vous arrivez à avoir une bonne compréhension de chaque étape de votre vie, vous avancerez toujours dans la lumière et dans la joie.

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov


Pensée du lundi 30 décembre 2013
 
« Même à la place modeste où vous vous trouvez, vous pouvez contribuer au bien de toute l’humanité. Chaque jour, consacrez au moins quelques minutes à penser comment, dans l’avenir, elle ne sera plus qu’une grande famille dont tous les membres se comprennent, s’aiment, se sourient. Il y a tellement de bonnes choses auxquelles on peut penser pour le bonheur de la terre entière ! Que tous les humains vont contempler le soleil qui se lève… qu’ils se rencontrent pour danser et chanter en chœur des hymnes de joie et de reconnaissance au Créateur… N’est-il pas merveilleux de pouvoir former de tels souhaits, au lieu d’agiter quotidiennement tant de pensées et de sentiments pessimistes, prosaïques, égoïstes ?
Et pensez aussi à toute cette vie qui est dans le Ciel : les anges, les archanges, les divinités, toutes les hiérarchies… Pensez à la lumière, à l’amour, à la pureté dans lesquelles ils vivent, et souhaitez que cette splendeur descende sur la terre. Ainsi, vous construisez des ponts, vous créez des communications pour que la perfection, la richesse, la beauté d’en haut descendent réellement un jour sur la terre. »
 
Pensée du dimanche 29 décembre 2013
 
Entités célestes - ne peuvent intervenir dans le monde qu’avec l’accord des humains
"La terre est comme une forteresse où même les entités divines ne peuvent pas installer l’ordre, la justice et la paix, parce que ces entités ne sont pas faites de matière physique. Pour intervenir, il faut que ce soient les humains eux-mêmes qui leur en donnent la possibilité. Sur la terre, les humains sont aussi puissants que toutes les armées célestes, et s’ils veulent leur tenir tête, rien à faire ! Elles ne pourront pénétrer dans cette forteresse que si, à l’intérieur, quelqu’un leur ouvre au moins une porte.
Combien de livres, de films racontent les aventures de villes assiégées que l’armée ennemie n’arrivait pas à prendre, jusqu’au moment où un « traître », de l’intérieur, finissait par ouvrir un passage ! Eh bien, il en est de même avec la terre. Jamais elle ne sera investie de l’extérieur par l’armée céleste. Il faut que, de l’intérieur, des « traîtres » ouvrent des brèches dans ses remparts. « Traître »… Ce mot sonne un peu bizarrement mais, au moins, avec l’image qu’il suscite vous comprenez que vous n’avez rien de plus important à faire que d’ouvrir des brèches, avec l’amour et la lumière, pour que l’armée céleste puisse pénétrer."

 


Pensée du samedi 28 décembre 2013
« Celui qui a vraiment compris ce qu’est la vie spirituelle, n’est jamais fatigué d’entendre les mêmes vérités, parce qu’il les entend chaque fois différemment. Les vérités de la science spirituelle ne sont jamais comprises une fois pour toutes, il faut y revenir encore et encore pour en découvrir toujours de nouveaux aspects. Vous direz que vous êtes curieux d’autres choses. Bien sûr, mais la curiosité, ce besoin de passer légèrement, superficiellement, d’un sujet à l’autre, ce n’est pas ainsi que l’on progresse intérieurement.
Qui parmi vous s’est jamais fatigué d’entendre son bien-aimé ou sa bien-aimée lui dire : « Je t’aime » ? Et même si c’est tous les jours et plusieurs fois par jour, ces mots résonnent comme si c’était la première fois, et toujours avec des nuances différentes. Alors, les vérités spirituelles, qui sont ce qui existe de plus précieux, pourquoi ne pas les entendre comme les paroles d’un être qui vous dit : « Je vous aime » ?… »
             
Pensée du vendredi 27 décembre 2013
« Toutes les manifestations de notre vie émettent des sons. Les pensées, les sentiments, les actes qui respectent les lois de l’harmonie résonnent d’une certaine façon comme de la musique. Et quand nous trouvons aussi le bon rythme à donner à nos gestes et à nos paroles, nous vivons d’après les lois de la musique.
Quelqu’un a dit un jour qu’en Dieu tout peut se reposer sauf les oreilles… Oui, mais certainement, Dieu ferme ses oreilles aux vacarmes et aux révoltes qui montent de la terre, Il n’écoute que les prières musicales, celles qui s’élèvent de l’âme de ses fils et de ses filles. Une prière qui n’est pas musicale n’est pas reçue. Alors, préparez vos prières d’après les lois de la musique et vous serez exaucé. »
             
Pensée du jeudi 26 décembre 2013  
Conscience - de la présence de Dieu et de l’univers en nous que nous devons retrouver

"Tout ce qui existe dans l’univers est contenu dans ce principe que nous possédons tous : l’Âme supérieure. Cette Âme supérieure qui touche le Ciel, qui habite le Ciel, est une émanation de Dieu Lui-même. En nous incarnant dans la matière, nous avons perdu la conscience de l’existence de cette Âme en nous, mais si nous cherchons à la connaître, si nous nous identifions à elle, nous nous rapprochons de notre être véritable : notre conscience s’élève, ses vibrations deviennent plus intenses et, un jour, elle se fond dans la conscience de l’Âme universelle, nous ne faisons plus qu’un avec Dieu et avec toute la création.
Cette vérité, que nous possédons en nous une quintessence de tout ce qui existe dans l’univers, ne doit pas rester une idée abstraite, nous devons la vivre, et c’est donc à nous de chercher, de creuser… Ce savoir, ces trésors contenus en nous, nous devons aller les explorer et les ramener à notre conscience." 

 

 
Pensée du mercredi 25 décembre 2013
 
« Une âme qui vient s’incarner sur la terre a des liens non seulement avec le monde des hommes, mais encore avec les règnes animal, végétal, minéral. Et elle a aussi des liens avec les anges et les archanges. Rompre certaines attaches et en développer d’autres afin de n’être plus lié qu’avec le Ciel et les êtres les plus évolués, est difficile pour la plupart des humains, car ces liens qu’ils ignorent ont de nombreuses ramifications. Vous pouvez être malade physiquement ou psychiquement sans en être directement la cause, mais parce que dans le passé vous avez noué des liens avec certains êtres d’une évolution inférieure, qui ont maintenant à traverser des épreuves pour se dégager, et c’est cela que vous ressentez à cause de ces liens.
On peut dire qu’il existe de nombreuses familles psychiques et spirituelles. Même si vous vous prétendez indépendant et libre, vous pouvez être membre de plusieurs familles, et par vos pensées, vos désirs, vous êtes lié à elles. Lorsque vous vous détachez d’une faiblesse, d’un vice, que vous avez vaincu une tentation, échappé à une servitude, vous ressentez une joie nouvelle. C’est comme une nouvelle naissance : vous êtes accueilli dans la famille des êtres de lumière. »
          
Pensée du mardi 24 décembre 2013
   
   « La mort est un changement d’état qui nous permet de traverser des régions auxquelles nous ne pouvons pas avoir accès avec notre corps physique. Vivre sur la terre et vivre dans l’autre monde sont des moments nécessaires à notre évolution. C’est pourquoi nous venons, puis nous repartons… puis encore nous revenons…
Le désir d’immortalité qui habite les humains n’est pas une chimère, il est réellement fondé, mais comme ils ne savent pas ce qui en eux est immortel, ils se raccrochent à la vie physique autant qu’ils le peuvent, les pauvres… Ils se sentiront immortels le jour où ils auront appris à travailler sur leurs pensées, leurs sentiments et leurs actes, car la vie éternelle est là. Ceux qui vivent cette vie, qui ont vraiment compris ce qu’est cette vie, n’ont pas peur de la mort. Ils ont conscience que les richesses qu’ils ont accumulées dans leur cœur, dans leur âme, ne les quitteront jamais. Au contraire, ils savent qu’ils les trouveront amplifiées dans le monde invisible, puisque c’est dans le monde invisible que nous avons notre origine. »
 
 Pensée du lundi 23 décembre 2013  
Réconfort - que nous donnent les entités célestes au travers d’autres êtres
"Quelque chose ou quelqu’un vous a fait du mal et vous marchez dans la rue découragé, accablé. Mais voilà que vous croisez un visage, un regard tellement magnifique que vous rentrez chez vous réconforté, allégé. C’est le Ciel qui vous a envoyé quelqu’un pour vous redonner courage. Ne vous y trompez pas : s’il vous arrive de rencontrer de tels regards, ce n’est pas la personne elle-même qui vous l’a donné, mais une entité qui s’est, pour un instant, introduite en elle afin de vous aider.
De telles expériences vous font prendre conscience que vous êtes constamment lié à des milliers d’entités bienveillantes. Elles viennent à votre rencontre, vous n’êtes jamais abandonné. Pourquoi ne le sentez-vous pas ? Aux souffrances réelles que vous éprouvez, pourquoi ajouter encore celle de vous croire seul, privé de tout secours ? Pendant un moment vous étiez comme anéanti, et puis soudain vous avez repris force et courage. Alors, remerciez tous ces êtres qui sont venus à votre rencontre. Plus vous serez conscient, reconnaissant, plus vous attirerez leur présence."
                
 Pensée du dimanche 22 décembre 2013  
Chemise de l’homme heureux - un conte
"Est-ce que vous connaissez l’histoire de la chemise de l’homme heureux ?… Il était une fois un roi qui se mourait de mélancolie dans son grand palais. Il avait pourtant une femme et des enfants qui le chérissaient, des amis, des serviteurs et d’immenses richesses, mais rien ne pouvait l’arracher à son mal. On réunit les sages de la cour et l’un d’eux dit : « Je sais ce qui peut sauver notre roi. Envoyons des messagers dans tout le royaume à la recherche d’un homme heureux, vraiment heureux, et qu’ils ramènent sa chemise, quand notre roi la mettra, il guérira. »
La recherche d’un homme heureux, vraiment heureux, se révéla longue et difficile. Enfin, on en trouvera un… mais voilà, il n’avait pas de chemise !"
  
 
Pensée du samedi 21 décembre 2013
    
« Une main porte inscrits en elle les mystères de la création, de la volonté et de l’action divines. Seul un microscope d’une puissance inouïe pourrait nous donner une idée de cet univers que représente la paume d’une main, car elle est semblable au cosmos avec ses constellations, ses nébuleuses et tous les corps célestes. La ligne de Saturne nous apparaîtrait comme la Voie lactée et nous découvririons encore bien d’autres galaxies.
L’homme est un résumé de l’univers, et la main est un résumé de l’homme. C’est pourquoi, par son intermédiaire nous pouvons entrer en relation avec toute la création. Nous devons en prendre conscience et préserver nos mains comme des instruments sacrés, préparés pour manifester la volonté de Dieu. Jésus disait : « Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier. » Le sens de cette phrase a un rapport avec les mains. »
 
Pensée du vendredi 20 décembre 2013 
  
Bon chemin - s’y tenir, même si on doit trébucher
"Avant de décider de servir un idéal, vous êtes libre, mais une fois la décision prise, vous ne l’êtes plus : vous avez déclenché un mouvement et vous êtes tenu de rester fidèle à votre engagement. Sachant cela, certains penseront qu’il est préférable pour eux de ne pas s’engager afin de préserver leur indépendance… Ils en ont le droit. Mais qu’ils sachent que l’indépendance telle qu’ils la comprennent ne fera que leur apporter des déceptions et des épreuves. C’est là qu’ils se sentiront vraiment ligotés.
D’autres diront que l’idée de servir un idéal les remplit d’enthousiasme, mais ils se savent faibles et craignent de trébucher en chemin. Je leur répondrai que les chutes ne sont pas si graves. Ils se relèveront et chercheront pourquoi ils sont tombés, puis, forts de cette expérience ils sauront mieux la prochaine fois triompher de leurs faiblesses. Tant qu’on reste sur le bon chemin, même en trébuchant, on atteint toujours le but. Imaginez que vous deviez traverser une forêt inextricable pour rejoindre des amis : vous allez certainement trébucher de temps à autre, mais si vous avez une boussole pour garder la direction, vous finirez par arriver au but. Et il est préférable de trébucher pour arriver au but que de ne rien entreprendre par peur des efforts."
         
   
Pensée du jeudi 19 décembre 2013   
 
« Vous vous sentez soudain visité par une joie, une inspiration, une pensée magnifique… Ce sont des richesses que vous venez de recevoir. Mais comment les conserver ? En les plaçant dans une banque. Oui, car même si les conditions de la vie quotidienne vous replongent dans les difficultés et les soucis, il y a un moyen de ne pas perdre ce que cette joie, cette inspiration ou cette pensée vous a apporté. Comme une somme d’argent que vous souhaitez mettre à l’abri, vous pouvez déposer ces richesses dans une banque…
Ce n’est pas parce que vous êtes un spiritualiste que vous devez oublier qu’il existe des banques. Oui, comme il existe des banques terrestres, il existe des banques célestes où les banquiers sont des entités lumineuses qui veillent à la bonne gestion des richesses spirituelles. Alors, quand vous vivez un état de grâce, tournez-vous vers elles et dites-leur : « J’ai conscience d’avoir reçu quelque chose de très bon et de très beau que je ne dois pas garder seulement pour moi. Il y a dans le monde tellement d’êtres malheureux et souffrants qui ont besoin d’aide ! Je ne sais pas comment la leur apporter, alors, je vous en prie, faites-les bénéficier de mes richesses. » Ce que vous confiez ainsi aux entités célestes, vous ne le perdez pas. Cela vous sera rendu plus tard sous une autre forme : santé, sagesse, amour… et vous aurez aussi la satisfaction d’avoir pu aider ceux qui en avaient besoin. »
     
        

Pensée du mercredi 18 décembre 2013 

 
Fils - texture du vivant

"Depuis la végétation jusqu’à notre corps physique, ce sont des fils qui forment la texture du vivant. Les arbres avec leurs racines, leur tronc, leurs branches ne sont qu’un assemblage de fils. De même, notre corps est constitué de fils, de filets, de filaments : nos muscles, nos nerfs, nos vaisseaux sanguins, sont des fils.
Cela vaut donc la peine de se pencher sur cette question des fils. La chair dont nous sommes tous faits est un tissu constitué de fils de différentes qualités. Si le corps physique tombe malade, c’est parce que « le tisserand » auquel il appartient n’a pas pris du fil assez résistant, il casse souvent. Et de quoi dépend la résistance des fils ? De la qualité des pensées et des sentiments que ce tisserand nourrit en lui. Car la pensée et le sentiment, tissés ensemble, produisent les actes. Les actes, c’est cela le tissu, et le corps physique est la matérialisation de ces actes. Oui, le corps physique n’est qu’un tissu matérialisé. Et selon que ce tissu est grossier ou fin, souple ou cassant, on reconnaît les qualités mentales et affectives du tisserand."                

 

        
Pensée du mardi 17 décembre 2013                           
                             
« « Nous sentons bien que nous avons besoin d’être guidées, disent certaines personnes, mais il y a tellement de gens qui cherchent à se faire passer pour des Maîtres spirituels et qui ne sont que des charlatans, des déséquilibrés ! » C’est vrai, mais si vous craignez d’être égarés, abusés par un guide vivant, personne ne vous empêche de vous tourner vers ceux qui ont depuis longtemps quitté la terre. Les œuvres de tous les Initiés et grands Maîtres de l’humanité sont à votre disposition, les rayons des bibliothèques en sont remplis, et sous différentes formes, ils enseignent les mêmes vérités. Alors, efforcez-vous d’accorder vos pensées et vos sentiments aux leurs : aucune force naturelle ou surnaturelle ne pourra empêcher la rencontre.
Personne ne vous reprochera de ne pas avoir parcouru le monde à la recherche d’un Maître vivant. Mais rien ne pourra vous justifier de stagner dans la médiocrité et dans l’erreur, sous prétexte que vous n’avez jamais rencontré quelqu’un capable de vous guider. Quand on est sincère, quand on cherche réellement la lumière, on la trouve. Le Ciel n’a jamais laissé s’égarer celui qui cherche sincèrement à progresser. »
   
 
 Pensée du lundi 16 décembre 2013  
Repos - l’harmonie et le silence intérieur en sont les conditions

"Quelqu’un rentre le soir chez lui en se plaignant d’être épuisé parce qu’il a eu une journée pénible : des difficultés dans le travail, une discussion qui a mal tourné, etc. On lui conseillera donc d’aller se reposer, mais comment va-t-il s’y prendre ?… Comme il ignore que la première chose à faire est d’oublier ce qui l’a contrarié, il va s’étendre sur son lit et là, il se tournera à droite et à gauche en ruminant son irritation, son découragement… Alors, même s’il passe plus d’une heure allongé, non seulement il ne se reposera pas, mais il sera encore plus fatigué, car il n’aura pas cessé de se souvenir de ce qu’il aurait dû justement oublier.
Vous voulez vraiment vous reposer ? Commencez par agir sur votre système nerveux. Pour un moment, laissez tout de côté, afin de donner aux forces qui vous habitent la possibilité de reprendre le dessus. Pour recommencer à circuler harmonieusement dans votre organisme, l’influx nerveux a besoin que vous vous mettiez dans un état de paix, d’harmonie, de silence intérieur. Et alors là, oui, la fatigue vous quittera."

 

   
 
Pensée du dimanche 15 décembre 2013
 
Chefs d’œuvre de l’art - nourriture pour notre âme
"On peut trouver que les plus belles œuvres d’art ont malgré tout quelques imperfections ; et même les plus grands artistes sont rarement satisfaits de leurs œuvres. Il existe pourtant certains monuments qui, par leurs proportions, la pureté de leurs lignes, les matériaux qui ont servi à leur construction, deviennent une sorte de nourriture pour notre âme. En les contemplant, nous sentons en nous quelque chose qui commence à faire siennes la beauté et l’harmonie de ces œuvres au point de s’identifier à elles, et c’est là le commencement de tout un travail intérieur.
Combien de monuments peuvent nous donner le goût de ce travail et l’accompagner ! Certains même ont été spécialement conçus dans ce but par des Initiés qui les chargeaient de rayonnement et d’énergie. Tous ceux qui contemplent ces chefs-d’œuvre de l’art ressentent cette beauté comme un aliment pour leur vie spirituelle."
 
 Pensée du samedi 14 décembre 2013   
Corps physique et astral - conséquence des déséquilibres entre les deux
"La faim n’est pas uniquement une sensation éprouvée par le corps physique. On peut avoir mangé à satiété et être encore affamé ! Pourquoi ? Parce que même si le corps physique est satisfait, le corps astral continue à désirer. En principe, il existe une harmonie entre les deux ; normalement, si le corps physique est satisfait, le corps astral l’est aussi. Mais il peut se produire un déséquilibre : le corps physique aurait encore besoin de nourriture, alors que le corps astral est déjà rassasié ; ou bien c’est le corps physique qui est rassasié, alors que le corps astral désire encore manger.
Ce même déséquilibre peut se retrouver dans le domaine de la sexualité. Même si leur corps physique est satisfait, il y a des êtres qui continuent à avoir faim dans le plan astral, et c’est terrible : leur corps physique ne peut plus rien, mais leur corps astral qui continue à désirer, à réclamer, sans jamais se sentir assouvi, leur fait vivre les tourments de l’enfer. Non seulement ce manque de correspondance entre les plans physique et astral finit par détruire leur santé, car ils épuisent leur corps physique, mais ce déséquilibre peut même finir par gagner le plan mental et y déclencher des troubles graves : des perversions, la folie."
 
Pensée du vendredi 13 décembre 2013   
 
Liens - avec tout ce qui existe déterminent notre existence
"Votre existence actuelle est en grande partie déterminée par la nature des liens que vous avez noués au cours de vos existences antérieures. Oui, les difficultés et les tourments, aussi bien que les satisfactions et les succès que vous rencontrez maintenant, dans votre vie physique comme dans votre vie psychique, viennent de tous ces liens visibles et invisibles que vous avez noués dans le passé. Sachant cela, vous devez vous montrer vigilant et prendre garde aux liens que vous êtes en train d’établir aujourd’hui. Car consciemment ou non, chaque jour, sans arrêt, chacun entre en relation non seulement avec des êtres humains, mais aussi avec des entités invisibles, avec la nature, avec tout l’univers.
Et pensez à réviser aussi les liens que vous avez déjà noués dans cette vie : recherchez ceux qui sont bons pour les maintenir, les renforcer, et ceux qui sont mauvais pour les couper."  
Pensée du jeudi 12 décembre 2013
« Il en est des nations, des pays et des peuples comme de chaque créature qui naît, qui grandit, puis vieillit et doit laisser la place à d’autres. Ils donnent ce qu’ils doivent donner, et ensuite ils s’éteignent ; on dirait qu’ils se reposent pour pouvoir un jour se réveiller et donner de nouvelles richesses. On a vu cela avec toutes les civilisations, et c’est aussi le destin des religions. Une nouvelle religion apparaît dans le monde : elle prend son essor, étend peu à peu son influence, arrive à un point culminant, puis se fige, se sclérose et perd les grandes clés de la vie. Même les Mystères, même les temples de l’ancienne Égypte qui possédaient le savoir, les pouvoirs, qu’en reste-t-il maintenant ? Ces hiérophantes, où sont-ils ? Ces sciences, où sont-elles ? Tous ont subi les lois immuables de la vie, car ce qui naît doit mourir et céder la place. Seul ce qui n’a pas de commencement n’a pas de fin.
Chaque religion, chaque philosophie, chaque science est en quelque sorte une forme, et aucune forme n’est durable : après quelque temps elle doit s’effacer pour laisser la place à une autre. Mais le principe, l’Esprit, est éternel, et c’est lui qui s’incarne successivement dans de nouvelles formes. » 
 
 
Pensée du mercredi 11 décembre 2013
« Je suis une sorte de bijoutier, et quand je vous donne un diamant, une perle précieuse, je vous dis : « Ça, ça vaut des milliards. » Vous pensez que c’est de la vanité ? Ça m’est égal. Que diriez-vous d’un bijoutier qui, pour être modeste, distribuerait des pierres précieuses, en disant que ce sont de simples morceaux de verre ou des cailloux ? Parce que je suis un bon bijoutier et que je connais la valeur de ce que je vous donne, je vous dis : ces vérités n’ont pas de prix.
Tâchez donc de comprendre l’importance de toutes les vérités que vous recevez ici, car elles valent plus que des pierres précieuses. Ce sont des talismans chargés de pouvoirs magiques. Grâce à eux vous pourrez obtenir tout ce à quoi vous aspirez. Pourquoi vous ne les utilisez pas ? Prenez aussi au sérieux toutes les méthodes et tous les exercices que je vous indique : les bénédictions que vous en recevrez vous suivront pendant l’éternité. »
 
Pensée du mardi 10 décembre 2013  
 
Intelligence cosmique - nous donne toujours les meilleures conditions de développement
"Combien d’empêchements, combien de difficultés que nous rencontrons dans la vie n’ont pour raison d’être que de nous obliger à prendre le seul chemin où nous pourrons accomplir notre prédestination de fils et de filles de Dieu ! Une grande sagesse préside à toutes les destinées, et il faut accepter cette vérité afin de ne pas aggraver ses souffrances. L’Intelligence cosmique n’a jamais l’intention de nous écraser ; mais avec ce qu’elle nous donne, et avec ce dont elle nous prive aussi, elle nous met dans des situations où nous sommes obligés d’exprimer, de produire ce que nous avons de meilleur.
À celui qui ne voit pas d’issue à l’extérieur, il reste toujours la possibilité de chercher une issue en lui-même en travaillant sans relâche par la pensée, l’imagination, la volonté. Le destin a pour chacun un langage spécial qu’il doit s’efforcer d’interpréter. Tous les empêchements, tous les obstacles qu’il rencontre sur sa route l’obligent à chercher ce dont il a besoin dans le monde de l’âme et de l’esprit."
         
Pensée du lundi 9 décembre 2013
 
« Vous allez chez l’épicier acheter un kilo de cerises. Il les pèse et voilà un kilo… mais il en ajoute encore une poignée. Qu’est-ce qu’une poignée de cerises ? Presque rien, mais ça vous fait plaisir. Ce qui vous réjouit, ce n’est pas tellement ces quelques cerises de plus, mais le sentiment amical qui se manifeste à travers ce geste.
Ce n’est là qu’un petit exemple. Mais en observant les humains, on constate que beaucoup ne savent pas faire cette sorte de geste. Ils ne sont pourtant pas dans le besoin – souvent même, ils ont bien plus qu’il ne leur faut – mais intérieurement quelque chose les retient : ils ne peuvent pas donner, ils n’arrivent pas à faire ce mouvement vers les autres. Et ensuite ils se plaignent de ne pas avoir d’amis. Comment leur faire comprendre qu’il suffirait de tout petits gestes, de ces gestes qui ne coûtent presque rien mais qui ouvrent les cœurs. »
 
Pensée du dimanche 8 décembre 2013
 
  « En chantant des chants mystiques, spirituels, nous créons autour de nous tout un monde de formes et de couleurs. Et puisque nous sommes nous-mêmes notre propre instrument, ces formes, ces couleurs que nous créons à l’extérieur de nous, nous les créons aussi en nous, et elles attirent des entités lumineuses, elles attirent des anges, elles sont une nourriture pour eux. Les anges ne viennent que si nous savons les attirer par de tels présents.
En chantant nous ouvrons sur le Ciel une porte par laquelle passeront les entités célestes. Et la venue de ces entités apporte aussi des changements bénéfiques dans le monde. »
Pensée du samedi 7 décembre 2013
  
« Toute la création est là pour nourrir les humains et leur permettre de se développer. Or, non seulement ils ne pensent pas qu’ils devraient lui donner quelque chose en retour, mais ils la salissent et gaspillent ses richesses. Ils ne se rendent pas compte qu’en agissant ainsi, ils enfreignent l’ordre cosmique dont le symbole est la balance : puisqu’ils reçoivent gratuitement, ils devraient aussi donner gratuitement. Comment ? En se mettant au service de la cause divine avec amour et reconnaissance.
Le jour où vous saurez dire : « Seigneur, je veux devenir ton serviteur, un instrument entièrement à ton service. Je ferai ta volonté, je manifesterai ta présence. Sers-toi de moi, Seigneur », vous actionnerez la grande loi de l’équilibre et tout un mécanisme se mettra en branle. L’Âme universelle au sein de laquelle se meuvent toutes les créatures s’ouvrira et déversera en vous ses bénédictions. Dieu est le Seigneur de toutes les richesses. Dans l’acte de se donner à Lui, c’est le geste qui compte. Seul celui qui se met entièrement au service de l’Esprit divin reçoit tout de Lui. »
   
 
Pensée du vendredi 6 décembre 2013 
 
« Comme il paraît de plus en plus de livres de sciences occultes, de plus en plus de gens entendent parler de magie noire. Alors, à force d’en entendre parler, certains plus crédules, plus fragiles, voient de la magie noire partout : dès qu’ils se sentent angoissés, dès qu’il leur arrive quelque chose d’un peu difficile ou douloureux, ils se prétendent victimes, ils s’imaginent que tout le monde leur veut du mal. Mais qu’ils raisonnent un peu : est-ce qu’ils représentent quelque chose de tellement puissant, de tellement redoutable pour que le monde entier se coalise contre eux ? La vérité, c’est qu’ils sont surtout ignorants et faibles. Ils ont tellement pris l’habitude de barboter dans le plan astral, qu’au lieu de prendre conscience que ce sont eux les responsables de leurs tourments, ils accusent les autres.
À l’inverse de ces gens-là, il y a ceux qui ne pensent jamais à la magie noire, ils ne croient même pas que cela existe, ils rient quand on leur en parle. Bien sûr, ils ont tort de ne pas y croire, car la magie noire existe vraiment. Mais au moins, quand ils ont des difficultés, ils n’accusent pas les autres de pratiques diaboliques, ils réagissent, ils sont dynamiques, ils n’ont pas peur. »
 
 
Pensée du jeudi 5 décembre 2013 
  
« Combien d’efforts et de sacrifices les humains sont capables d’accepter pour gagner les faveurs des riches et des puissants ! Et même s’ils y réussissent pendant quelque temps, il arrive souvent qu’un événement renverse la situation et ils perdent tout. S’ils faisaient les mêmes efforts, les mêmes sacrifices pour une idée divine, non seulement ils ne perdraient rien, mais ils gagneraient chaque jour quelque chose d’impérissable, d’éternel.
Qu’est-ce qu’une idée ? Une représentante de tous les esprits lumineux dans l’univers. Comprenez qu’à travers cette idée, c’est eux que vous aimez, que vous appréciez, et en retour aussi, à travers cette idée, ils vous apportent leur aide. C’est donc à la réalisation d’une idée que vous devez appliquer votre volonté. Si vous aimez une idée divine, si vous lui êtes fidèle, si vous la nourrissez, si vous concentrez toute votre volonté à sa réalisation, elle vous soutiendra à travers toutes les vicissitudes de l’existence. »
 
Pensée du mercredi 4 décembre 2013    
 
  « En tant que discipline spirituelle, le tir à l’arc nécessite un très long apprentissage. Mais même pour celui qui n’a pas l’intention de la pratiquer, il est intéressant d’étudier les correspondances que l’on peut voir entre cette discipline et le signe zodiacal du Sagittaire, l’archer céleste. Il y a une première interprétation de ce symbole qui saute aux yeux : l’archer est celui qui a appris à se défendre et à défendre les autres. Puis, la flèche peut être aussi celle de la pensée qui vise un but élevé et lointain, afin de déclencher des forces d’en haut. Mais pour y parvenir, il faut que cette pensée soit non seulement concentrée mais imprégnée d’un sentiment d’amour.
Dans le mesure où elles mettent en relation le monde d’en bas et le monde d’en haut, la méditation, la magie peuvent être considérées comme des formes du tir à l’arc. Dès l’instant où nous mettons notre pensée au travail, nous sommes comme un archer. »  
Pensée du mardi 3 décembre       
 
Sacrifice - condition de la vie
"L’agneau qui porte une croix est le symbole du Christ. Il signifie qu’à l’origine de la création, le Christ s’est offert en sacrifice afin que le monde puisse exister. Ce sacrifice était nécessaire pour produire une force capable de lier entre elles toutes les particules de l’univers, et cette force, c’est l’amour. Le Christ est l’esprit de l’amour qui attire, rapproche, soutient ; c’est lui qui a été placé comme fondement de la création. Le sang de l’agneau immolé est le symbole du fluide qui devait imprégner la matière de cette construction. Il est le lien, le ciment qui empêche l’univers de se disloquer. Partout, dans les pierres, dans les étoiles, c’est cet amour qui soutient la charpente ; si l’amour disparaissait, notre corps même commencerait à se désagréger.
C’est grâce à cette force de cohésion aussi que les familles, les nations, peuvent subsister. Sans les sacrifices que les humains font les uns pour les autres, sans les renoncements consentis par tous, plus aucune vie en commun ne serait possible."

 

 

Pensée du lundi 2 décembre 2013 
 
« Le disciple qui s’engage sur la voie de la véritable évolution est comparable au voyageur qui passe une frontière. Comme il transporte avec lui toutes sortes de bagages hétéroclites accumulés depuis des millénaires, il est arrêté par des douaniers qui lui disent : « Mon ami, le chemin est long et rude, ces objets dont tu t’es chargé sont encombrants, inutiles et même nuisibles, tu dois les laisser ici. » Et ils obligent le disciple à se débarrasser de ce qui est pesant, ténébreux et qui l’empêche de vibrer à l’unisson avec la pureté et la lumière qu’il veut atteindre. Ce passage de la frontière n’est pas facile, car il est toujours douloureux de renoncer. Mais puisqu’il désire s’élever, le disciple doit en accepter le prix. Qu’il persévère et, à la frontière d’une autre région, il passera bientôt une autre douane… jusqu’à ce qu’il arrive, complètement libéré, dans cette contrée céleste où il se fusionnera avec la Source de la vie éternelle.
Si vous ne voulez pas être sans cesse arrêté par les douanes célestes, devenez vous-même le douanier de votre monde intérieur. Quand vous mangez, vous êtes attentif à ne pas avaler n’importe quoi ; de la même façon, soyez attentif à la qualité des pensées et des sentiments que vous laissez entrer en vous. À chaque pensée, à chaque sentiment qui se présente, dites : « Attends un peu, toi, d’où viens-tu ? » Et n’acceptez que ceux qui vous renforceront spirituellement. »
 
Pensée du dimanche 1 décembre 2013 
   
Corps causal - notre sommet intérieur
"Du point de vue symbolique, un sommet représente notre soleil intérieur. Les Initiés se sont toujours servi de ce symbole, même dans les contrées où l’on ne trouve que quelques collines. C’est dans le sermon « sur la montagne » que Jésus a révélé l’essentiel de son enseignement, et cette montagne n’est même pas nommée… Peut-être justement parce qu’il s’agissait surtout d’une montagne spirituelle.
Le sommet est le symbole de l’Initiation, c’est le lieu où l’homme s’instruit, se purifie, se libère et acquiert une vision supérieure de la vie. Car sur les hauteurs où l’air est si pur, il est plus facile d’atteindre en soi-même ce sommet que la Science initiatique appelle le corps causal. C’est là, dans le corps causal, que la pensée trouve tous les éléments de la réalisation ; c’est là que sont les forces, les puissances que nous devons toucher pour devenir créateurs."

Voir les commentaires

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
commentaires

Girl Gift Template by Ipietoon - Hébergé par Overblog